Beaucoup d'hypothèses... mais aucune certitude.
BELVÈS
Daniel Benquet, le nouveau maire de Marmande, et Christian Léothier, maire de Belvès, à Marmande, le 27 août. Ils ont examiné les pistes de sauvegarde des pôles industriels du bois de Marmande et de Belvès. Image J.T France 3 Aquitaine du 27 août, relayée par France 3 Périgord du 28 août .
L'inquiétude, si ce n'est l'angoisse, règne autour de Belvès; là où le pôle industriel du groupe Gascogne Wood products, avec pour propriétaire Dominique Coutière, entend fermer ou céder son site à un éventuel repreneur. Belvès compte autour de 80 personnes employées dans cette activité.
Beaucoup de si. G.W.P, Gascogne Wood products, en difficulté depuis plusieurs années, dans sa restructuration prévoit de se séparer de la filière bois, filière largement déficitaire. G.W.P opère sur le site de Belvès mais, aussi, sur celui de Marmande, 60 personnes, et également du Bugue, environ 10 employés.
Un revenant possible. Dans ce capharnaüm deux repreneurs se sont manifesté sur le site de Marmande et ont abandonné les négociations. Dans ce contexte J-Luc Imberty s'est montré intéressé par une candidature à la reprise pour l'ensemble des sites de la filière bois. Il maîtrise le sujet et, fort de son expérience, branche bois, de 4 ans à G.W.P, il s'est efforcé de convaincre ses partenaires, élus et représentants de l'état, sur la cohérence de son projet.
Les prochaines étapes. Un rendez-vous avec notre sous-préfète doit avoir lieu. le 8 septembre prochain, avec J-L Imberty, un représentant de G.W.P et le représentant économique du conseil général de la Dordogne. C'est à Sarlat que les aspects techniques du projet Imberty seront débattus. J-L Imberty et Dominique Coutière, le nouveau dirigeant de G.W.P, devraient se revoir, autant que faire se peut, pour faire avancer le projet.
Et les élus dans tout cela. Ils sont tous sur le pont; tant Daniel Benquet, maire de Marmande, que Christian Léothier, maire de Belvès ou Claudine Le Barbier, conseillère générale et régionale. Ils appuient les salariés. Ils entendent bien maintenir la pression jusqu'au bout pour éviter que les 150 emplois recensés sur les trois pôles concernés n'aillent gonfler le chiffre exponentiel et catastrophique de la population de chômeurs. Les militants et élus syndicaux, a priori, dans leur majorité, proches de
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