Défilé de chars sur le thème des "Quatre Saisons".
Les petites mains s'affairent à la préparation des fleurs.
Le Comité des fêtes de Sagelat a retenu, cette année, pour la fête patronale du 28 août, l'idée de revenir sur "Les Quatre Saisons" comme cela avait été fait, précédemment, au début des années 70.
Depuis, il s'est passé bien des choses et, au moins, une génération nouvelle a relayé les anciens. La thématique des quatre saisons immuable ne peut prendre de rides et, même si l'on n'est pas particulièrement mélomane, chacun trouve dans cette musicalité, l'envoûtement figuratif que le compositeur vénitien a légué pour sa postérité.
Ce n'est pas la félibrée mais, tout de même, il faudra consacrer bien des heures.
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Les Quatre Saisons (dont le titre original italien est « Le quattro stagioni ») est le nom donné aux quatre concertos pour violon, composés par Antonio Vivaldi (1678-1741), Opus 8, no 1-4, qui ouvrent le recueil Il cimento dell'armonia e dell'invenzione — « La confrontation entre l'harmonie et l'invention ». L'opus 8 de Vivaldi a été édité en 1725 à Amsterdam par Michel Le Cène, mais il est admis que la composition de ces quatre concertos est antérieure de plusieurs années. L'œuvre connut un grand succès dans toute l'Europe notamment à Londres et à Paris où les concertos furent interprétés au début de l’année 1728 au Concert Spirituel.
Cette œuvre est l'une des plus connues du genre « concerto » (ici, violon soliste concertant avec un orchestre de chambre à cordes), et surtout, de la totalité des compositions de Vivaldi.
L'introduction du Printemps (Primavera) |
et le troisième mouvement, presto, de l’Été (Estate) |
L'œuvre est accompagnée de quatre sonnets attribués à Vivaldi décrivant le déroulement des saisons. Sur la partition, le compositeur précise les correspondances avec les poèmes, explicitant même certains détails (aboiements de chien, noms d'oiseaux : coucou, tourterelle, pinson…).
Source Wikipédia.
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Toujours dans la bonne humeur.
Photos Pierre Fabre.
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