Val de Nauze

BELVÈS

Le 12 juillet promeneurs et touristes ont parcouru l'exposition "art dans la rue" autour de la halle du vieux castrum belvésois.

Cette douzième édition confirme la volonté locale de voir les artistes présenter leur oeuvres.

L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.

L'appellation « orgue de Barbarie » viendrait de sa sonorité, moins noble que celle des orgues d'église, ou de l'origine exotique des joueurs de rue : les joueurs du xvii^e et xviii^e siècles "baragouinaient un français approximatif."

D'autres hypothèses plus ou moins fantaisistes ont été avancées :

• déformation d'« orgue de Barberi », du nom d'un fabricant italien de Modène, Giovanni Barberi (début du xviii^e siècle). L'explication serait aussi répandue que fausse.
• Orgue de « John Burberry », inventeur anglais, probablement, imaginaire.

Cet instrument mécanique suscite toujours autant de passion.

De vrais bijoux faits main.

Le couteau impacte toujours les esprits.

Une artiste sioracoise et son compagnon.

Le médecin honoraire Michel Carcenac, devenu romancier, toujours sur la brèche, commente l'actualité belvésoise avec Claudine Le Barbier et Gérard Vilatte.

Philippe Souletis connait bien le bois. Il présente ici le "travail" des champignons sur le matériau.

Pour Philippe "Sei de Bainac e n'ai pas páur". "Je suis de Beynac et je n'ai pas peur".

De très beaux tableaux.

Muriel prépare le pot.

Valérie, Muriel et Bernard attendent de pied ferme les exposants et les visiteurs.

Guy Bernardin, un chantre des animations estivales, a bien piloté l'Art dans la rue et il remercie toutes les personnes qui ont adhéré à cette réédition. 

Photos Pierre Fabre.