Val de Nauze

L'épée de Damoclès menacerait Jean Leclaire !.

SIORAC

Copie de CIMG3961.JPG

 

Trois Sioracois  derrière la banderole de fortune du rond-point de leur cité.

 

 

D'aucuns pensaient  que les règles aberrantes et impitoyables étaient le domaine réservé de l'impéritie du monarque précédent. Avaient-ils tort, je ne saurais vous le dire !

Les monarques changent mais la réalité économique demeure et l'Hôpital de Sarlat reste toujours sous la menace de mathématiques modernes qui veulent qu'un minimum de séjours soit la règle de pérennité d'un établissement hospitalier.

Quand une future maman, trop éloignée d'un établissement spécialisé pour accoucher, doit prendre des risques majeurs pour la venue au monde de son bébé c'est tout simplement dramatique ; que le monarque s'appelle Nicolas ou François !

 

Il paraît, en effet, beaucoup plus facile de faire supporter aux contribuables l'affrètement de deux avions pour amener, à l'autre bout du monde, nos "monarques", bien entendu séparément, eu égard à la culture de leur ego, tant pis pour l'adhésion symbolique aux grands principes définis par Nicolas Hulot,  qu'à notre République d'assurer la maintenance de tous ses hôpitaux.

 

L'Hôpital de Sarlat serait-il toujours sous la menace d'une impitoyable règle mathématique de calcul de rentabilité ? Cela me parait impensable ! Souvenons-nous du pamphlet implacable contre la finance lancé au Bourget. Ce serait curieux que celles et ceux qui, alors, déploraient de n'avoir que deux mains pour applaudir à tout rompre, maintenant qu'ils détiennent tous les pouvoirs, l'aient oublié.

 

Photo Pierre Fabre. 

 



19/12/2013
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