Val de Nauze

L'inattendu tsunami de novembre.

 

 

 

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Multa cadunt inter calicem supremaque labra.

" Il y a loin de la coupe aux lèvres." 

 

Que le lectorat se rassure, je n'ai nullement l'intention de tenir une tribune politique sur la primaire de la droite. Aujourd'hui, la France conservatrice exulte et croit avoir trouvé un nouveau tribun.

 

Je n'avais, naturellement, aucune préférence à manifester pour cette occurrence, mais je pensais que l'autre hypothèse me paraissait  "moins pire". On aurait, peut-être, eu un chef de l'état qui, sans l'avoir promis, les promesses n'engagent que celles et ceux qui y croient,  pour rejoindre l'Aquitaine, aurait emprunté le T.G.V. au lieu d'user d'un coûteux Falcon.

La France provinciale, à tort ou à raison,  aime ses présidents, même si elle ne partage pas ses opinions. Vincent Auriol, que le sympathique sénateur communiste Jacques Duclos, avec son verbe rocailleux, avait popularisé en proclamant son élection par une dissonante liaison  avec un truculent Vincent Tauriol, a toujours joui de l'estime des Languedociens... et même au-delà.

Devant les tsunamis,  la résistance devient difficile, délicate, voire déraisonnable  et vite dépassée. S'il y a une déduction à retenir de cette consultation,  c'est que dans une démocratie,  "un scrutin à bulletins secrets n'est jamais gagné d'avance" et c'est ce qui peut ou, tout au moins, devrait faire réfléchir les personnalités qui se croient providentielles et hors d'atteinte.



28/11/2016
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