Nos deuils.
Marie-Hélène Rouzier
Ce vendredi deux familles de notre Val de Nauze étaient plongées dans le deuil.
Marie-Hélène Rouzier, dite Garrouty, est décédée dans la journée du mardi 26 mai.
Marie-Hélène naquit à Belvès le 21 juin 1940, cité qu'elle a habité sa vie durant. Son activité professionnelle fut majoritairement au Bercail, structure encore appelée par certains La Barde.
Après son mariage elle eut un unique enfant Dominique qui épousa
Il y a une quarantaine d'années Marie-Hélène, occitaniste, monta sur les planches pour "Lo gal a cantat". "Le coq a chanté".
Une assistance nombreuse et recueillie, après l'office religieux, l'a accompagnée vendredi matin au cimetière de Belvès.
Jean-Claude Fabre.
Lors de l'hommage civil
Après deux nouvelles années à
La pathétique chanson de Jean Ferrat, "Nul ne guérit de son enfance", écoutée dans un recueillement parfait précéda l'hommage de Christophe, son neveu. Il intervint pour toute la famille et, au premier chef, pour Gilles son frère aîné, par ailleurs filleul de Jean-Claude qui ne put se libérer. C'est sur les notes de "Que ma joie demeure", de Bach que la famille et les amis ont fait le tour du catafalque tricolore.
La cérémonie s'acheva dans la petite église de Sagelat trop exigüe pour accueillir tout le monde.
Les remerciements.
Dominique et
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Denise Fabre, son épouse ; Denis et Anne-Marie, ses enfants ; ses petits-enfants, Gérard et Marie-Jeanne, Pierre et Fanny, ses frères, ses belles-sœurs, leurs enfants et petits-enfants ; Anny et Jean (†), sa belle-sœur, son beau-frère, leurs enfants, petits-enfants et leur arrière-petite-fille ; parents, alliés et amis de Jean-Claude Fabre, ancien combattant en Afrique du Nord, médaillé militaire, remercient de tout coeur toutes les personnes qui se sont associées à leur deuil.
Les remerciements prennent un relief particulier pour aller vers celles de l'E.P.H.A.D de Belvès qui, spontanément, lors de ses derniers moments, ont tenté l'impossible pour maintenir Jean-Claude en vie. La famille remercie avec chaleur tout le personnel hospitalier belvésois, toujours patient et compréhensif, les voisins et amis de toujours qui lui ont rendu visite, les porteurs qui l'ont conduit à la sépulture familiale, avec délicatesse et dignité, et les porte-drapeaux qui ont donné à cet adieu une belle note associative.
La famille manquerait à tous ses devoirs si elle oubliait la qualité musicale de l'office religieux, diligenté par l'abbé Jean Picard, donnée par Daniel Conchou qui s'est dégagé d'une autre mission, imputable à ses prérogatives de maire, pour se porter, par amitié, à cette cérémonie.
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