Quelques internautes, parmi les abonnés de Fongauffier-sur-de Nauze ou de Val de Nauze, je rappelle que ces deux blogs sont strictement identiques et présentent donc les mêmes supports, se demandent si des articles annoncés sont passés à la trappe ; notamment sur le gaz de schiste ou l'abandon des projets T.G.V.
Que nenni ! L'actualité fait que certains sujets passent avec un certain différé, voire un différé certain, et d'autres moins. Je ne tiens pas à "gaver" le sympathique lectorat de ces blogs et il est bon d'éviter d'avoir trop d'articles le même jour. Dans les prochains jours, en attendant le 27 août, je vous parlerai, entre autres, du 14 juillet à Siorac, de la balade cycliste des neuf cours d'eau, des projets festifs fongauffiérains et de la borie monplaisanaise, en cours de finition, mais je ne reviendrai pas sur les festivités dominicales de Carvès car, pris ailleurs, je n'y fus point et les images truculentes attendues ne me sont, hélas, pas parvenues. Jean-Paul m'a oublié et est parti compléter son bronzage quelque part au bord du grand océan.
P.F
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SIORAC-en-PÉRIGORD
Samedi 13 juillet le "triumvirat" de Jean-Paul, Philippe et Alain donnait rendez-vous, autour d'une bonne table, aux amis de la pêche et des pêcheurs.
Cette période estivale, après une bien longue période maussade, redonne gout à la vie conviviale et, pour cela, l'objectif est atteint.
Ils étaient environ 130 pécheurs et pêcheurs réunis pour partager un dîner dans la bonne humeur.
Dommage qu'il n'y eut pas une chorale informelle et inopinée pour chanter l'hymne de notre fleuve "Ô ma Dordogne". Ce sera, peut-être, pour l'an prochain.
Quand dans le ciel l'étoile luit,
Et que le jour nous fait ses adieux,
Quand la belle lune rousse
S'échappe et court dans les prés
Ô ma Dordogne
Ô mon pays que j'aime tant
Sur tes rives je veux venir vivre
Et mourir
Oh, toi, ma Dordogne, oh, toi si belle,
Si accueillante aux amoureux
Oh toi, si belle demoiselle
Oh toi mon coeur en chansons
Ô ma Dordogne
Ô mon pays que j'aime tant
Sur tes rives, je veux venir vivre
Et mourir !
Il me semble reconnaître ce pêcheur.
Les sept péchés capitaux, identifiés par Thomas d'Aquin, sont l’acédie (ou la paresse spirituelle), l’orgueil, la gourmandise, la luxure, l’avarice, la colère et l’envie.
Et oui la gourmandise est identifiée comme un péché capital, au même titre que la luxure, aie, aie, aie ; que d'histoire pour une malheureuse pomme engloutie, par égarement, il y a si longtemps !
Que celles et ceux qui veulent se donner bonne conscience se rassurent : être gourmand, c'est, pour certains, une forme de péché capital mais être gourmet c'est beaucoup moins grave. C'est qu'elle est fine et pleine de subtilités notre langue !