Val de Nauze

N'ayant pas la photo des candidats 2014 cette image des élus de 2008 permettra de retrouver la majorité d'entre eux et de ne pas oublier Janine Malaurie-Tillos, au premier plan, deuxième sur la gauche.

St Amand qui, par deux fois, passa sous le seuil fatidique des 100 habitants, 86 en 1982 et 92 en 2006, pour mémoire 369 en 1841, a bien failli devoir asseoir son conseil municipal avec les contours d'un heptagone. Il fut un ennéagone lors des scrutins de 1989 et 1995 mais cette forme a été revue à la baisse, pour les plus modestes communes, pour ces municipales 2014. Le chiffre de l'I.N.S.E.E, 107 habitants, a donc sauvé l'hendécagone saint-amandin.

Les édiles, autour de la table, seront à nouveau 11 après avoir comblé la douloureuse vacance prématurée de Janine Malaurie-Tillos et le renoncement de Christophe Personne.

St Amand a vu glisser la première écharpe six fois depuis la Libération. Dans l'ordre, après Charles Rougier pendant l'Occupation, citons Amédée Petit jusqu'en 1950, il anticipa le terme de sa mandature, le retour de Charles Rougier jusqu'en 1959, la triple mandature d'Edmond Escoubeyrou, la quadruple mandature de Georges Personne, le trop court passage d'Alain Collier, bien trop tôt emporté par la maladie en 2003, et Brigitte Pistolozzi  qui, après avoir relayé son prédécesseur, termine sa première mandature complète.

Les élections, néanmoins, sont à St Amand aussi tranquille que le filet d'eau du Mamarel. On note cependant, en sept décennies, deux candidatures individuelles, une à la fin de l'ère Escoubeyrou et une à l'ouverture de la période de Georges Personne.

Les candidats.