Val de Nauze

Un jour, espérons le, le droit prévaudra sur la force et la plus haute marche reviendra à un(e) citoyen(ne) choisi(e) par le peuple souverain et non imposé(e) au peule avec l'onction de l'héritage d'une terrible dictature. 

Sombre jour pour l'Espagne aujourd'hui. Nos voisins transpyrénéens hier soir ont vécu deux heures horribles avec l'élimination de leurs champions du monde de football détenteurs du titre. Ne nous moquons pas les Bleus, une année, sont revenus avec un superbe 0.

L'Espagne républicaine, aujourd'hui, va avoir sa plaie ouverte en souffrance car les assassins de la République, reconnus par la communauté internationale comme "fréquentables", avec pour curieux alliés les pseudo-socialistes hostiles à la voie référendaire proposant de rétablir la République, voire d'admettre la monarchie, voient triompher les adversaires de la "Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen" qui, rappelons le, ne reconnaissent nullement la naissance comme critère d'investiture d'un chef d'état.