Val de Nauze

Pluviôse s'échappe.

 

 

Cliquez sur les images.

 


 

La vaillante source fontaine de Fongauffier a beaucoup souffert lors des longues  périodes de sécheresse.

 

On se lasse vite, très vite, des journées pluvieuses ; même si elles sont salvatrices pour les nappes phréatiques.

 

L'observation de nos cours d'eau nous laisse supposer que nos réserves sont bien établies pour aborder les virtuelles périodes estivales. Que nenni !

 

Les flaques d'eau dans les champs et sur les chemins de terre ne sont que des apparences trompeuses. Une belle décade d'ensoleillement et il n'en restera plus grand chose ; voire rien.

 

Les témoins les plus fiables on les trouve dans le débit des fontaines et, là, force est de constater que le compte n'y est pas.

 

 

Il faut mettre les pieds dans le lit pour se rendre compte de l'écoulement caché par les feuilles. 

 

Avant hier ce blog a présenté le cours supérieur du Branchat qui s'est réamorcé avec les pluies d'hiver. Son timide épanchement devient plus que peau de chagrin 1 000 mètres en aval de ses plus hautes sources. Il faut marcher dans le lit du ru pour percevoir un suintement  infinitésimal sous les feuilles.

 

 

 

La source de la Croix.

 

La seconde reprise, fort modeste au demeurant, part de la source de la Croix.

 

Le printemps calendaire approche ; il arrivera dans un mois. Nul ne peut affirmer ce qu'il nous réserve. Chacun sait que ce sont les précipitations d'avril qui jouent un rôle déterminant pour éviter les excessives sécheresses estivales. 

 

 

Photos Pierre Fabre.



20/02/2013
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